Qu’est-ce qui te fait avancer ? #Résilience

Bonjour ! Aujourd’hui nous sommes le 4 mai 2021, et je vais vous dévoiler un peu de moi et de ce qui m’a poussée à mettre en place mon site internet.
Définition….pas du dico
La résilience est une des valeurs qui m’a construite. D’habitude je prends la définition du dictionnaire #larousse ou #hachette, pas de jaloux ; mais aujourd’hui je vais me baser sur celle proposée par Manciaux, Vanistendael, Lecomte et #Cyrulnik (2001) : « Capacité d’une personne ou d’un groupe à se développer bien, à continuer à se projeter dans l’avenir en dépit d’« événements déstabilisants, de conditions de vie difficiles, de traumatismes sévères ». Cela nécessite cependant des interactions sociales fortes capables de soutenir ce processus.
Boris Cyrulnik, neuropsychiatre, directeur d’enseignement à l’université de Toulon et auteur de nombreux ouvrages, a mis en lumière le concept de résilience – renaître de sa souffrance. Ou encore, la phrase vulgarisée : « ce qui ne te tue pas… » je vous laisse compléter. Pourquoi est-ce que je l’utilise ici ? On y vient.
La genèse
Aujourd’hui cela fait six mois que mon conjoint, l’homme avec lequel j’avais lié mon destin et celui de mes enfants est décédé. Des suites du COVID, à 45 ans. Alphée était mon ami depuis le collège et un papa amoureux de la vie et de sa famille. Alphée était aussi un travailleur acharné, toujours en quête de la prochaine mission, éternel insatisfait malgré ses succès. Nous formions une famille recomposée, essayant de #concilier les lieux de résidence, le travail et la vie de famille. Alphée était un génie de l’informatique, il installait des caisses et des logiciels commerçants, il mettait en place de la #domotique, s’intéressait au #solaire et aux #crypto-monnaies. Il enseignait, adorait transmettre et savait mettre en place des financements pour divers marchés : médical, pharmacie, mines, immobilier, bois.
Evidemment, nous n’étions pas d’accord sur tout, notamment sur la notion de risque, mais nous nous challengions à tous les niveaux. L’un de nos dons communs était la mise en relation de personnes, que ce soit pour les affaires ou au niveau personnel. En effet, nous aimions déceler qui pouvait s’entendre avec une autre personne selon leur caractère, leur savoir-faire et savoir-être. Et c’est cela qu’il a fait pour moi lorsque nous nous sommes trouvés séparés par son travail, la maladie puis la pandémie.
Des décisions professionnelles et familiales
Je suis revenue m’installer en France en juillet 2019, pour raisons médicales. J’ai également cherché de l’aide auprès de #Pôle Emploi, la #CCI 95, et l’assistante sociale de ma petite ville de Marines pour retrouver du travail. L’association #Du Côté des Femmes à Cergy m’a accompagnée sur le chemin difficile de la recherche d’emploi, de la reconversion, voire de la remise en question de qui j’étais. J’ai fait un bilan de compétences, et deux autres bilans, professionnel et personnel. Ce ne sont pas des exercices aisés. Pas du tout. Je me suis interrogée sur la suite que je voulais donner à ma vie et mon parcours, lassée de recevoir des offres de reprise ou de franchise. Certes c’est flatteur pour mes compétences et capacités managériales, mais les sommes demandées sont parfois rédhibitoires pour quelqu’un qui recommence à zéro.
C’est ainsi que de fil en aiguille, nos discussions de couple nous amènent à la rédaction d’un cahier des charges – enfin j’ai juste répondu aux questions – pour mon futur site internet. Je vous ai dit qu’Alphée était excellent dans ce qu’il faisait ? Je souhaitais une plate-forme où je pourrais diffuser à ma guise mon savoir-faire et mes autres #soft skills. Un endroit où je pourrais parler de mes expériences et proposer mes services.
Mes super héros : #Team Yupeach
Alphée m’a tenu la main et indiqué comment faire, le #budget à prévoir et surtout l’équipe qui allait m’épauler et m’assister pour ce faire. Majoric, Valentin, Thomas, Danaé, Laetitia et Mathilde. Son équipe, chacun avec ses #talents. De la créativité, de la patience, de la pédagogie et de la disponibilité, voici ce dont j’ai bénéficié durant des semaines. J’ai appris à utiliser de nouveaux outils. J’ai posé des centaines de questions, parfois les mêmes sous d’autres formes car les techniques informatiques et moi ça fait quatre.
Nous avons travaillé ensemble #YUPEACH.com, et le résultat est ce site, qui est né après 9 longs mois, comme pour un bébé. En effet, j’ai dû apprendre les bases de la communication sur internet, du design de ce que je voulais offrir et dire. Traduire en mots ce qui parfois n’existait que dans ma tête. Il y avait des moments fluides. Et d’autres où la page blanche me narguait allègrement.
Alphée est rentré au pays se reposer, prendre de l’énergie et gérer ses maux qui l’embêtaient de plus en plus après qu’il eut attrapé ce satané #COVID19. C’était en juillet 2020.
Je lui faisais part de mes avancées et blocages entre deux discussions sur l’école des enfants et le programme de Noël. Nous avions le projet de réunir notre smala soit à Ouidah, soit dans le sud de la France. Vous ai-je dit que nous étions une famille recomposée ? Chacun de nous avait trois enfants, avant d’être ensemble. Puis nous avons eu notre petite dernière, née en mars 2019, pour sceller nos destinées.
Et le 04 novembre 2020….
C’était le soir, un peu avant 19 heures. Ma vie s’est arrêtée en même temps que mon cœur. Nos projets ont été stoppés dans leur élan. Notre famille a été dévastée. La seule manière dont je peux décrire ce qui se passe au niveau émotionnel, mental, psychologique, physique, spirituel, est : tsunami. Une vague gigantesque, qui emporte tout sur son passage et ne laisse derrière elle que désolation. Comment se relever après ça…? Je ne sais pas.
Pourtant je me relève chaque jour. Chaque jour je prends la décision de me mettre debout. Pour moi, pour mes enfants, pour ma famille et les amis qui se tiennent à nos côtés. Pour les anonymes qui ont tendu la main ; pour ma carrière, pour le souvenir d’Alphée. Oui, pour lui.
Bon, sans pathos, il y a aussi des jours où je reste juste couchée sur mon canapé avec un livre parce que je ne peux pas plus. Et c’est très bien ainsi. Le deuil ne se traverse pas avec des étapes planifiées. Non non. Je ne décide pas de mes ressentis et émotions lorsqu’ils arrivent. Par contre, je choisis, avec plus ou moins de réussite, la manière dont je les accueille et accepte.
La #résilience.
Alphée aimait rire et taquiner les autres. Il était bosseur et concentré, toujours en train de travailler, même au plus mal. Il donnait le meilleur de lui-même, tout le temps, au mépris de sa santé. Aujourd’hui, je fais face, non seulement pour lui, mais surtout pour ce que nous avons construit et ce qu’il m’a permis de mettre en place. Et parce qu’il n’aurait pas voulu que je sombre.
La résilience c’est se choisir malgré les coups de la vie. Elle est l’étincelle de vie qui éclaire le désespoir. Je la nomme aussi l’espérance au milieu du néant. Par exemple faire une petite liste et célébrer ce qu’on a accompli, même si c’est écrire un email et régler une facture. Regarder la nature autour de soi et se dire que ça en vaut la peine. Et… enfin finir mon article et le partager avec vous, même plus de dix jours après.
Et vous ? Quelles épreuves avez-vous traversées ? Comment avez-vous fait pour vous relever ? On en discute ?
D’ici la prochaine fois, prenez-soin de vous.
Bonjour ! De quoi vais-je vous entretenir aujourd’hui ? De l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée. Souvent c’est faire l’équilibriste de jongler entre les deux : essayer de tenir sa maisonnée en ordre et tâcher d’évoluer harmonieusement dans son job. Entre autres. Car il s’agit d’une donnée essentielle de bien-être. Et c’est une question qui devrait être abordée au moins une fois dans sa vie professionnelle. Bien que normalement à chaque entretien annuel d’évaluation, c’est mieux. A mon avis.
Des chiffres
Voyons quelques chiffres que j’ai glanés pendant que je préparais cet article.
« 40% des Français estiment que l’entreprise pour laquelle ils travaillent ne prend pas en compte leur équilibre entre vie professionnelle et vie privée, selon une étude réalisée par Targus, leader mondial des accessoires informatiques, en 2018 ». –https://www.forbes.fr/management/40-des-francais-decus-de-leur-equilibre-entre-vie-privee-et-professionnelle/ –
« L’#OPE – Office de l’équilibre des temps et de la Parentalité en Entreprise a effectué un sondage en ligne du 26 mars au 10 avril 2018, auprès d’un échantillon de 1001 salariés représentatif de ceux résidant en France métropolitaine. Il met en lumière une forte baisse de leur insatisfaction : 69% il y a quatre ans, 60 % aujourd’hui. » Des progrès donc, mais une large majorité de salariés estime encore que leur employeur « ne fait pas beaucoup de choses » pour les aider à équilibrer les temps de vie, alors que faciliter cet équilibre demeure au cœur des préoccupations de 92% d’entre eux. Un chiffre qui reste stable depuis 2015 et qui s’élève à 97% lorsqu’on interroge les salariés-parents d’enfants de moins de 3 ans. » https://www.elle.fr/Elle-Active/Actualites/Equilibre-des-temps-de-vie-60-des-salaries-insatisfaits-des-mesures-prises-par-leurs-employeurs-3752217
Dés-é-qui-libre ?
Je ne fais pas mention ici du déséquilibre entre les hommes et les femmes interrogés, ainsi que de la charge mentale des femmes à ce propos, j’en parlerai une autre fois. Donc oui il y a du progrès et non ce n’est pas suffisant. Car outre les outils que l’on peut mettre en place individuellement afin de préserver cet équilibre, si l’employeur ne le facilite pas, il est vain de penser que cela donnera des résultats durables et appréciables.
Quelles sont les clefs RSE ?
« Donner l’exemple n’est pas le principal moyen d’influencer les autres, c’est le seul moyen. » Albert Schweitzer
https://www.efficaciteprofessionnelle.fr/2018/01/08/30-citations-inspirantes-pour-sepanouir-au-travail/
Je vais maintenant vous raconter quelques anecdotes pour illustrer mon propos et cette citation.
En effet, atteindre cet équilibre est toujours une décision de l’exécutif de la société, du Directeur Général, du COMEX… Les employé-e-s, collaborateurs / collaboratrices, salariés ne peuvent pas prendre l’initiative de (au choix, la liste n’est pas exhaustive) :
- partir plus tôt du bureau,
- faire du télétravail,
- emmener un enfant chez le pédiatre ou
- faire une formation pour évoluer si ce n’est pas encouragé, établi dans le règlement intérieur, voire plébiscité par la Direction.
Décisions pour le bien de tous
Quand je travaillais à Maboumine, filiale d’#ERAMET-COMILOG, au Gabon, notre Directeur Général souhaitait que les consignes #RSE à mettre immédiatement en place concernent d’abord le #bien-être au travail. Cela a donc commencé par la recherche de prestataires de repas équilibrés. Ceci afin que nous puissions déjeuner au bureau, dans un espace dédié. A la charge de l’entreprise. Pourquoi ? Parce que faire une demi-heure de trajet pour manger sur le pouce chez soi à toute vitesse et ensuite revenir au bureau est contre-productif.
Les horaires de bureau étaient aménagés; notamment pour les parents devant aller récupérer leurs enfants à l’école et les ramener l’après-midi. Quand je suis tombée enceinte de mon 3ème bébé, avec un diagnostic défavorable pour sa santé et tous les symptômes du burn-out, j’ai eu la chance de pouvoir compter sur la collaboration de toute l’équipe. D’abord le DG, notre #médecin du travail et le #RRH (responsable RH) ont discuté avec moi. Nous avons trouvé les solutions me permettant de garder un pied dans l’entreprise tout en préservant ma santé. J’aurais effectivement dû être arrêtée complètement, avec du repos dans la journée. Mais impossible pour moi de rester à la maison ! J’ai ainsi pu continuer de venir au bureau le matin, manger avec mes collègues à midi et dès la fin du repas, j’étais sommée -gentiment par tout le monde – de rentrer chez moi. Je pouvais télétravailler si mon état le réclamait. De même j’ai pu embaucher un #super collaborateur pour aller sur site à ma place et me remplacer ensuite pendant mon congé maternité. #Collaboration. #Coopération. #Cocréation de solutions.
Organisation is key !
En conséquence, l’#organisation est l’une des clefs pour concilier vie perso et vie pro. #Prioriser ses actions également. #Planifier outre les réunions et leur durée, la production en équipe et les moments pour soi. Ici, #Thibaud Baheux l’explique en 10 points : https://www.reinventersontravail.com/10-cles-avoir-bon-equilibre-vie-pro-vie-perso/
Mon ADG à Gabon Oil Company #GOC avait l’habitude de dire qu’il y avait une #vie en dehors du travail, que nos familles avaient besoin de chacun de nous. De même, il ne valorisait pas du tout les personnes qui restaient au bureau tous les jours jusqu’à 21 h – sauf si #projet urgent et ponctuel. Car cela signifiait pour lui que soit tu ne sais pas t’organiser, soit tu n’es pas taillé pour le poste et c’est à revoir avec les RH, soit tu fuis ta maison !
Ma méthode avec les équipes avec lesquelles j’ai eu la chance de travailler était de laisser à chacun-e la latitude d’organiser son travail comme il l’entendait, selon les objectifs à atteindre et parfois les impératifs familiaux. Je donnais le cadre ainsi que les processus si besoin est. Puis tout en restant disponible durant les plages horaires définies, je pouvais vaquer à mes occupations. Je gardais du temps pour moi, que ce soit au niveau pro ou perso en :
- responsabilisant mes collaborateurs
- leur montrant mes façons de faire
- en déléguant lorsque nécessaire.
Qu’en pensez-vous ? Et qu’est-ce-que vous avez mis en place dans votre #workplace, lieu de travail pour trouver cet équilibre ? On en discute ?
D’ici le prochain conseil, prenez soin de vous !
D’ailleurs, c’est féminin ou masculin #les toilettes ?
Bonjour ! Aujourd’hui je voulais aborder un aspect du #bien-être au travail, et en tant que #femme, ce sera bien évidemment de mon point de vue. Car il y a des sujets qui doivent devenir #normaux et ne plus rester dans le tabou. Qu’est-ce-que je vais aborder cette fois ? J’y arrive, j’y arrive.
ESPACE DE TRAVAIL ET BIEN-ETRE
Je n’ai pas étudié à proprement parler l’#ergonomie : “Dérivé du grec « ergon » (le travail) et « nomos » (#normes), l’ergonomie (ou les « facteurs humains ») est la discipline scientifique qui s’occupe de la compréhension des interactions entre les hommes et les autres éléments d’un système. C’est aussi une profession qui applique les théories, les principes, les données et les méthodes pour concevoir dans le but d’#optimiser le bien-être des #hommes et la #performance du système dans son ensemble. Les ergonomes contribuent à la #conception et à l’#évaluation des #tâches, des #produits, des #conditions de travail et des #systèmes pour les rendre compatibles avec les #besoins, les #capacités, les possibilités et les limites des êtres humains.” – Source : preventica.com (pour lire tout l’article, c’est ici https://www.preventica.com/dossier-ergonomie-amenagement-postes-travail-definition.php#:~:text=D%C3%A9riv%C3%A9%20du%20grec%20%22ergon%22%20(,autres%20%C3%A9l%C3%A9ments%20d’un%20syst%C3%A8me.) .
Mais l’#ambiance dans un espace de travail, la disposition des meubles, les interactions avec les collègues qui partagent cet espace, la lumière, etc…tout ceci contribue au bien-être ou au #stress. Prendre le temps d’écouter, c’est aussi le rôle du / de la Chef-fe d’entreprise (responsable d’équipe, manager) :
- les demandes liées à la myopie d’un acheteur,
- l’orientation du climatiseur pour la manager RH qui est frileuse et asthmatique,
- les maux de dos du responsable informatique,
- éviter les #TMS – Troubles-Musculo-Squelettiques- chez les manutentionnaires ou les comptables (bien sûr que même si on dématérialise le plus possible; il reste de la paperasse et des dossiers à trier et ranger 😉 ! )
WC, NORMES, AISANCE
J’en arrive au point que je souhaite aborder, parlant d’espace optimisé : les #toilettes dédiés aux dames et ce dont elles peuvent avoir besoin au cours du mois. Oui, on n’en est pas encore, du moins au Gabon, au concept de WC collectifs, quoique…. Dans la dernière entreprise où j’ai exercé mes fonctions de DDD – Directrice Développement Durable- il y avait deux lieux d’aisance pour chaque demi-palier par étage, avec un WC privatif dans le bureau de Direction. Soit deux cabinets pour 5 personnes, dont 3 femmes. J’ai trouvé des chiffres intéressants à ce propos.
“D’après l’article R4228 du Code du travail (FRANCE), vous devez prévoir au minimum un urinoir pour 20 hommes. Et deux cabinets pour 20 femmes. À partir du moment où votre équipe est mixte, vous devez installer des cabinets séparés, masculins et féminins. Et ce, même pour une seule personne du sexe opposé dans votre équipe. Pour chaque nouvelle tranche de 20 salariés hommes, vous devez doubler le nombre d’urinoirs, et de cabinets pour chaque tranche de 20 salariées femmes. Toutefois, si votre entreprise compte moins de 20 salariés, le #Code du Travail est plus souple. Il considère que vous devez vous adapter au mieux et en fonction du bon sens.” (Source : https://lg-clean.fr/sanitaires-respectez-vous-vraiment-le-code-du-travail/ Article du 16/11/2019). Je ne sais pas vous, mais je trouve ça peu. Passons.
DECISION, DISPOSITIONS, ILLUSTRATION
Lors d’un #CODIR, j’avais évoqué le fait de mettre à disposition des femmes des paniers garnis dans les WC. Des serviettes hygiéniques, tampons, lingettes, cotons et petit linge de rechange . Ceci afin de ne plus se retrouver dans la situation embarrassante de devoir rentrer chez soi – en mode furtif. Un pagne autour des reins ou un foulard prêté par une collègue, pour aller se changer complètement, c’est moyen. Et ainsi perdre quelques précieuses heures de travail selon la distance et la facilité d’accès au domicile. En effet, j’avais pu mettre ce sujet sur la table car nous étions presque à parité en tant que Directrices et Cheffes de département avec les hommes. Et qu’à cette époque, notre CEO était #progressiste. Bon, ma Direction n’a pas pu utiliser son budget fournitures pour implémenter cela. qQu’à cela ne tienne, c’est une #idée qui a été gardée à titre privé par certaines d’entre nous. Avoir cela à disposition peut sauver la journée d’une collègue. « Trust me”.
Pour vous donner un autre exemple me confortant dans l’idée que les toilettes doivent non seulement être propres, agréables, sans odeur résiduelle et en nombre suffisant, avoir des paniers d’urgence à disposition chez les femmes est un plus pour le bien-être qui n’a pas de prix.
EXEMPLARITE, RATIO H/F, ILLUSTRATION #2
Un an environ après ce CODIR, je suis en cours à la #FGV EBAPE de Rio de Janeiro (https://ebape.fgv.br/). C’est l’une des 5 universités accueillant le programme #IMPM -impm.org – que j’ai commencé en 2016. Lors d’une pause, on se retrouve entre femmes aux toilettes dédiées qui en plus d’être spacieuses, avec la place #handicapée, ont un emplacement pour changer un bébé. Avec tout le nécessaire, dans de jolis paniers pour l’#hygiène féminine et un contact à appeler en cas de manque. Je crois avoir pris une photo mais franchement, rechercher parmi les 16 000 photos et images du téléphone… comme on dit au pays : Zéro ! No way ! Sans vous offenser, je sais que vous ne m’en voudrez pas 🙂
CONCLUSION RSE
Et en quoi est-ce un sujet de #RSE me direz-vous ? Une employée, une collaboratrice, une manager (je vous laisse choisir…) à l’aise dans ce qu’il y a de plus intime sur son lieu de travail est une femme #productive et bien dans sa peau. Toutes choses demeurant égales par ailleurs évidemment.
Et vous, que faites-vous pour améliorer le #bien-être de vos équipes au travail – et au télétravail ? On en parle ? D’ailleurs, mais c’est un autre sujet, cela va de pair avec la présence d’une infirmerie. Ou d’un local dédié dans les locaux s’ils ont un espace suffisant pour cela, parce que les SPM – Syndromes Prémenstruels – peuvent être invalidants pour plus d’une femme.
Un autre article est nécessaire pour traiter ce sujet.
Prenez soin de vous et à la prochaine !